Ye De Di Qi Zhang (Twinlight's Chapter Seven)

une nuit de décembre
un vent frais s'est levé
chapitre sept du crépuscule
j'écris encore sur moi-même
et laisse les réalités se poser
ces ombres se mêlent à la foule
le parfum se perd dans les livres
un silence me fait pleurer
un monde scintillant m'entoure
la dangerosité de l'heure est là
le temps des fleurs s'épanouit
un reflet
les klaxons hurlent de partout
le blanc de la nuit témoigne
les pâles
sous un clair de lune ardent
le spectacle coloré
l'arrière-plan caché
les ombres noires balancent
la beauté flamboie
l'eau ne s'éternise pas
je scrute dans l'image
le sens de l'équilibre
le paradoxe se montre
pensant à ceux qui attendent
la justice devient une illusion fermée
à chaque incidence
je respire le plus frais

Refrain

si le témoin
est un récit douloureux de la journée
( tant de vérités se cachent dans des notes enjouées )
dans son chant central
je suis là
pour calmer les blessures
( je me déplace dans l'ombre d'une lumière familière )
la clarté à l'horizon
le dernier vol s'est levé
( tant de cieux s'opposent dans ce noir sans limite )
le noir obsédant
rayonnant des missions obscures
( souvent je me pose sous ces cieux illuminés )

ces instants ne peuvent se répandre
sans la mélodie qui s'éteint
le tissu coloré de l'ombre
un style que tous voient
chacun porte le masque de sa raison, il réussit à tromper
les impulsions sont comme une lueur reflétant un chemin
les cœurs perdus se retrouvent
où le vrai peut rester caché
nous pouvons
devoir
être magnanimes
mais c'est un secret fondamental
les coussins des souhaits cachés
la dernière trace dans un coin du monde
je perçois le murmure de chaque réflexion
un cuir comme réel et léger
elle ouvre une porte juste avant l'orage
un moment
j'écris juste pour laisser entendre mon nom
la nuit d'un cœur battant
commence à s'envoler
dans un combat de mains
battant sur la mort
je suis accoutumé à dire le dernier mot sur votre essence précieuse
pour la clarté qui vient d'un accessoire d'hiver
un appel se fait entendre à la fin

Répète le refrain