Canción de la Esperanza
 Victor Manuel
 Victor Manuel
Chanson de l'Espoir
Tant à imaginer une mort digne en toi et tu éclaboussais le mur
Nous étions une oreille, un battement, un cœur et pendant que tu éclaboussais le mur
Nous attendions avec peur la rupture, tu sais bien pourquoi
Tant de gens ne dormaient pas chez eux, tu sais bien pourquoi
Nous avons toujours soupçonné que la vie n'était pas toi, toi l'ancienne histoire fantomatique
Tu étais l'habitude, le pistolet et l'autel, un miroir brisé dans le grenier
Le cauchemar impossible et malheureux, la cloche de cristal
Un jour, on nous dira que tu n'as existé que comme un rêve en réalité
Que l'espoir acculé ne s'éteigne pas, avec le vote, on ne change presque rien
Que l'espoir acculé ne s'éteigne pas, mort le chien, il ne s'en va pas avec la rage
C'était presque facile de se rebeller contre toi dans un syndicat, sur un papier
Toute la politique se faisait contre toi, tu étais le résumé à vaincre
Maintenant tout est plus complexe, le plus difficile est de grandir
Et d'accepter que d'autres décident à ta place avec le vote que tu leur donnes
J'avais toujours rêvé que ça serait fait une bonne fois pour toutes, je n'avais jamais rêvé d'un roi
Cette partie d'échecs est très inégale, eux ont le vote et le pouvoir
Continuons la lutte toujours vivante dans le bureau, dans un atelier
L'histoire nous pousse en maudissant à une table dans un café.
Que l'espoir ne s'éteigne pas ...












