Bailando Con Tu Sombra (Aleli)
Victor Heredia
Dansant avec ton ombre (Alelí)
Dansant avec ton ombre (Alelí)
Qui pourra t’aimer comme je t’aime, mon amour ?
Qui ? Je demande, qui pourra t’aimer comme moi ?
Tu le disais toujours et tu m’attachais à ta peau
Avec des bouquets de baisers et on écoutait tomber
Sur les toits en zinc, des pluies d’automne en avril
J’ai cette nostalgie d’un dimanche qui pleut
De guitare cassée, de carrousel rouillé
Oh, Alelí
Pauvre de moi
Je te déshabillais pour voir comment était la mer
Et la mer s’enroulait autour de mes désirs de voler
On allait si loin qu’on oubliait de revenir
L’ange aveugle de l’aube nous ramenait
Et il se couchait à tes pieds, comme un petit chat siamois
J’ai cette nostalgie d’un dimanche qui pleut
De guitare cassée, de carrousel rouillé
Oh, Alelí
Pauvre de moi
Ce soir, je veux qu’on danse encore une fois
La chanson que le vent nous chantait autrefois
L’enfer saura comment faire pour accepter
Que je danse dans ma cellule avec ton ombre sans m’arrêter
Comment ai-je pu tuer, celui qui me faisait rêver ?
J’ai cette nostalgie d’un dimanche qui pleut
De guitare cassée, de carrousel rouillé
Oh, Alelí
Pauvre de moi
Lai lai lai lai lai lai lai lai