Mi Nostalgia
Ricardo Cepeda
Ma Nostalgie
Maracaibo, terre chérie depuis que je t'ai quittée
À chaque instant je te désire, je passe le temps à penser à toi
Et dans mon cœur vibre l'espoir que je vais revenir vers toi
C'est pour ça que je chante toujours pour oublier
Décembre est revenu, lumières de fête et le vent joue en chantant des gaitas
Et cette nostalgie qui tue mon âme comble mon désir de revenir
Je vais à la rencontre d'un barde gaitero qui est arrivé hier de mon vieux chez-moi
Parle-moi de Maracaibo, (parle-moi de Maracaibo) chante une gaita, gaitero
Chante que je veux, cher ami, chanter avec toi pour ne pas pleurer
Décembre est revenu, lumières de fête et le vent joue en chantant des gaitas
Et cette nostalgie qui tue mon âme comble mon désir de revenir
Je vais à la rencontre d'un barde gaitero qui est arrivé hier de mon vieux chez-moi
Parle-moi de Maracaibo, (parle-moi de Maracaibo) chante une gaita, gaitero
Chante que je veux, cher ami, chanter avec toi pour ne pas pleurer
Un autre an s'achève et je suis loin de ma mère et de mon foyer
Quelle douleur déchirante me ronge l'âme sans relâche
Et un désir fou de te voir, ville natale
M'assaillit à chaque instant et comme un enfant je me mets à pleurer
Décembre est revenu, lumières de fête et le vent joue en chantant des gaitas
Et cette nostalgie qui tue mon âme comble mon désir de revenir
Je vais à la rencontre d'un barde gaitero qui est arrivé hier de mon vieux chez-moi
Parle-moi de Maracaibo, (parle-moi de Maracaibo) chante une gaita, gaitero
Chante que je veux, cher ami, chanter avec toi pour ne pas pleurer
Décembre est revenu, lumières de fête et le vent joue en chantant des gaitas
Et cette nostalgie qui tue mon âme comble mon désir de revenir
Je vais à la rencontre d'un barde gaitero qui est arrivé hier de mon vieux chez-moi
Parle-moi de Maracaibo, (parle-moi de Maracaibo) chante une gaita, gaitero
Chante que je veux, cher ami, chanter avec toi pour ne pas pleurer
Maracaibo, si jamais je ne peux revenir vers toi
Ton image dans mes bras restera éternelle, mon vieux chez-moi
Et au seuil de mon crépuscule, fatigué de vagabonder
Je transforme mes bras en ailes et jusqu'à ton sol j'irai atterrir
Décembre est revenu, lumières de fête et le vent joue en chantant des gaitas
Et cette nostalgie qui tue mon âme comble mon désir de revenir
Je vais à la rencontre d'un barde gaitero qui est arrivé hier de mon vieux chez-moi
Parle-moi de Maracaibo, (parle-moi de Maracaibo) chante une gaita, gaitero
Chante que je veux, cher ami, chanter avec toi pour ne pas pleurer
Décembre est revenu, lumières de fête et le vent joue en chantant des gaitas
Et cette nostalgie qui tue mon âme comble mon désir de revenir
Je vais à la rencontre d'un barde gaitero qui est arrivé hier de mon vieux chez-moi
Parle-moi de Maracaibo, (parle-moi de Maracaibo) chante une gaita, gaitero
Chante que je veux, cher ami, chanter avec toi pour ne pas pleurer