Nonono

La, la, la, la, la, la, la
La, la
La

Et hier j'ai fait un rêve (Non, non, non)
Et tu étais là aussi, eh
Tu lisais Chair de Poule (Non, non, non)
Et tu buvais un café avec moi
On n'arrivait pas à dormir (Non, non, non)
On s'est mis à rire (Ahah)
De la peur de mourir
De l'envie de partir
De la joie de vivre
Et je te lisais la main, uh (Non, non, non)
Et je l'apprenais par cœur
Et si j'ai de la chance, je te jure
Qu'un jour je te mets dans les livres d'histoire (Aïe, aïe)
Et me l'a dit le pakistanais (Non, Non, Non)
D'où j'ai acheté les roses
Chef, souviens-toi que le bonheur
Se trouve dans les petites choses

Ouais, ouais, ouais
Et décoiffée tu restes là
Parce que la plus grande liberté
C'est celle qui te garde enchaînée
Ouais, ouais, ouais
Les coups de poing que tu me donnes
Je les garde dans l'âme
À côté de tous les je t'aime

Hier je me suis réveillé (Non, non, non)
Il était environ trois heures, eh
Quand le téléphone n'a pas sonné
J'ai compris que c'était toi
Tu as dit : Apprends à vivre seul (Non, non, non)
Mais seul, je savais pas faire
Ma solitude était un monde magique
Que je voulais te montrer
Comme c'est beau quand tu danses avec ces yeux glacés (Non, non, non)
Tu me plais si tu bouges comme le font les lémuriens (Non, non, non)
Je suis le dernier de tes pensées, tu m'évites (Non, non, non)
Mais les derniers seront les premiers comme Steven Bradbury
Tu es le défi final de Takeshi's Castle (Non, non, non)
J'essaie de te comprendre et je ne comprends rien— (Non, non, non)
Regarde cette nuit, il y a la pleine lune
Et tu dis : Je t'aime juste parce que tu me fais de la peine

Ouais, ouais, ouais
Et décoiffée tu restes là
Parce que la plus grande liberté
C'est celle qui te garde enchaînée
Ouais, ouais, ouais
Les coups de poing que tu me donnes
Je les garde dans l'âme
À côté de tous les je t'aime

Parce que les téléachats
De couteaux à la nuit tombée
Sur les chaînes de province
Me parlent de toi
Et ils disent qu'après tout
Le jour recommence toujours, mais
Je te jure je ne sais pas
Hé, je te jure je ne sais pas, non

Ouais, ouais, ouais
Et décoiffée tu restes là
Parce que la plus grande liberté
C'est celle qui ne te laisse pas partir
Ouais, ouais, ouais
Les coups de poing que tu me donnes
Je les garde dans l'âme
À côté de tous les je t'aime

Ouais, ouais, ouais
Tu es mon bonheur
Un peu comme le Festivalbar
Que je regardais enfant au bord de la mer
Ouais, ouais, ouais
Et décoiffée tu restes là
Parce que la plus grande liberté
C'est celle qui ne te laisse pas partir.