gu cheng
Mo Dao Zu Shi (The Untamed)
village ancien
le vent frais de juillet
l'eau comme un parfum s'épanouit
une graine c'est un cœur nouveau
vers l'horizon partagé
la douceur attire, le doux goût du sucre
le destin sans pitié se relâche
au milieu du chemin, le village sort
il y a des peines, des vérités
la vie est courte, ce souffle est long
la tristesse danse, qui s'endort
la nuit s'étend, l'amour brûle
haine et froid se mêlent
et la scène se joue
ce cœur s'égare, les fleurs de nuit s'épanouissent
il y a des illusions qu'on ne peut ignorer
comment pardonner, que faire, le passé
Homme : le lien est fort, mais le cœur est lourd
rêve d'une vie qui s'effondre
une phrase de trop, ne t'inquiète pas
la neige tombe, le double éclat
la silhouette se dessine, l'ombre s'étend
les rêves chantent dans le sommeil
comme un bambou qui se penche vers la mort
le village ancien poursuit sans fin
la douleur et l'origine sont si difficiles à écrire
si difficile
depuis le nuage, le vent léger
la terre et le ciel se rencontrent
les fleurs s'épanouissent, se mêlent
écoute le vent, tout ira bien
et la scène se joue
ce cœur s'égare, les fleurs de nuit s'épanouissent
il y a des illusions qu'on ne peut ignorer
comment pardonner, que faire, le passé
le lien est fort, mais le cœur est lourd
rêve d'une vie qui s'effondre
une phrase de trop, ne t'inquiète pas
(encore un retour, se réveiller)