Azabache (part. Raúl Beron)

Candombe, candombe noir
Nostalgies de Buenos Aires
Dans les rues de San Telmo
La rue se met à bouger
Dans les rues de San Telmo
La rue se met à bouger

Ça résonne avec du sang et des tombes
Tarumba de tombes et de sang
Cri esclave du souvenir
De la vieille Buenos Aires
Cri esclave du souvenir
De la vieille Buenos Aires

Oh oh oh oh oh oh

Oh ma belle, tes yeux
Sont comme la lumière d'azabache
Ton regard semble un rêve
Un rêve en chocolat

Oh tes hanches qui tremblent
Qui tremblent comme les palches
Oh ma belle, je te veux
Je te veux, je peux t'embrasser

Homero Oh oh oh oh oh oh

Candombe, candombe noir
Nostalgie des gens pauvres
Dans les rues de San Telmo
Le candombe s'est perdu
Dans les rues de San Telmo
Le candombe s'est perdu

Oh oh oh oh oh oh