Mantieni Il Bacio
Michele Bravi
Garde le Baiser
Dans l’obscurité à la lumière du jour
Dans le silence parfait pendant qu’il pleut à verse
Au niveau de la mer, sur le toit du monde
Années-lumière éloignées, moi d’instants, une seconde
Et ainsi à l’infini, perdant le compte
Garde le baiser
Au-delà de l’erreur du temps
Fais-en quelque chose d’éternel
Ne laisse tomber même pas un fragment
Comme de la poussière sur le sol
Ne détache pas les lèvres même une seule seconde
Et ne te laisse pas distraire par le bruit de fond
Parce qu’à la fin, chaque fois
C’est l’amour qui nous sauve
De la blessure du monde
Et tu sens juste le cœur et la douleur n’existe plus
Et il n’y a plus de douleur
Seulement moi, seulement toi
Ce silence sent mille mots
Et je resterais ici à t’écouter pendant des heures
Pour des années, une seule seconde
Et si tu me regardes
Je m’en rends compte
Que à la fin, chaque fois
C’est juste l’amour qui nous sauve
De la blessure du monde
Protège-le jusqu’aux racines
Des pas hésitants et des tempêtes soudaines
Des moments de crise et des répliques malheureuses
De ces gens qui font semblant d’être amis
De l’envie des autres
Des jugements ignorants
Des éclats fous qui arrivent
De toutes parts
Garde le baiser
Au-delà de l’erreur du temps
Fais-en quelque chose d’éternel
Ne laisse tomber
Même pas un fragment
Comme de la poussière sur le sol
Ne détache pas les lèvres même une seule seconde
Et ne te laisse pas distraire par le bruit de fond
Parce qu’à la fin, chaque fois
C’est l’amour qui nous sauve
De la blessure du monde
Et tu sens juste le cœur et la douleur n’existe plus
Et il n’y a plus de douleur, seulement moi, seulement toi
Ce silence sent mille mots
Et je resterais ici à t’écouter pendant des heures
Pour des années, une seule seconde
Et si tu me regardes, je m’en rends compte
Que à la fin, chaque fois
C’est juste l’amour qui nous sauve de la blessure du monde
Et de la répétition des jours qui ne valent pas un souvenir
Garde le baiser et ne le laisse pas même pour une seconde
Et plus je reste ici à te regarder, plus je m’en rends compte
C’est l’amour qui nous sauve de la blessure du monde