Fabula

Le soleil sur mon lit, aujourd'hui il me réveille encore
Et je veux dormir, dormir, dormir pour oublier
Que je vis dans un désert de béton et de solitude

Et toi
Entre les verres levés, les nuits
Et les amants
De ce monde fou
Et errant
Tu ne reviendras pas
Et je souffrirai
Résigné à voir
Que ce qu'on avait était

Fable
D'un pauvre idiot qui t'a toujours aimé
Et qui n'a jamais fermé ses portes
Avec l'espoir de te revoir

Fable
D'une fille qui a toujours cru
Aux contes de fées et qui a confondu
Les aurores avec le lever du jour

Fable
La-la-la-la-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la-la-la-la

Ma vie n'est plus une vie, je ne sais pas quoi faire
Suppliant Dieu, je lui demande, rends-moi ton amour
Je deviens fou de souffrir et de pleurer

Et toi
Entre les verres levés, les nuits et les amants
De ce monde fou
Et errant
Tu ne reviendras pas
Et je souffrirai
Résigné à voir
Que ce qu'on avait était

Fable
D'un pauvre idiot qui t'a toujours aimé
Et qui n'a jamais fermé ses portes
Avec l'espoir de te revoir

Fable
D'une fille qui a toujours cru
Aux contes de fées et qui a confondu
Les aurores avec le lever du jour

Fable
La-la-la-la-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la-la-la-la
La-la-la-la-la-la-la-la-la-la