De mí, de mí, de mí (part. José Madero)

Peu importe les années qui passent
Qui passent déjà par paires et à toute vitesse
Peu importe combien je remplis mon calendrier
De rendez-vous nocturnes et de passe-temps coûteux
Je pense toujours à toi
Rien ne me sépare de toi

Même si je suis déjà avec une autre
Et que la distance est contre moi
Je ne peux pas t'oublier
Je ne peux pas te retirer
De moi, de moi, de moi, de moi
De moi, de moi, de moi, de moi

Même si tu es déjà avec un autre
Et que ce que je te demande semble fou
Fais ce que tu veux
Mais n'oublie pas de moi, de moi
De moi, de moi, de moi, de moi

Tant de chansons que j'ai écrites en ton nom
Ça m'intrigue beaucoup, comment tu ne t'en es pas rendu compte ?
Je suis abonné à des revues de science
Au cas où ils inventeraient la machine à voyager dans le temps
Pour revenir à ce temps parfait
Où j'ai vécu à tes côtés, à tes côtés

Même si je suis déjà avec une autre
Et que la distance est contre moi
Je ne vais pas t'oublier
Je ne peux pas te retirer
De moi, de moi, de moi, de moi
De moi, de moi, de moi, de moi

Même si tu es déjà avec un autre
Et que ce que je te demande semble fou
Fais ce que tu veux
Mais n'oublie pas de moi, de moi
De moi

Qu'il pleuve, qu'il tonne ou qu'il y ait des éclairs
Que je déménage, que je me marie, qu'on me mette en prison
Je ne cesserai pas de penser à toi toute la journée

Ni eau, ni chlore, ni feu, ni Dieu
Il n'y a rien qui efface l'écho de ta voix
Je ne cesserai pas de penser à toi toute la journée

N'oublie jamais de moi, de moi, de moi, de moi

Même si je suis déjà avec une autre
Et que la distance est contre moi
Je ne vais pas t'oublier
Je ne peux pas te retirer
De moi, de moi, de moi, de moi
De moi, de moi, de moi, de moi

Et même si tu es déjà avec un autre
Et que ce que je te demande semble fou
Fais ce que tu veux
Mais n'oublie pas de moi, de moi, de moi
De moi, de moi, de moi