Portuguesa Bonita
José Cid
Portugaise Belle
Née dans le Sud, elle est plus pure et plus brune,
Elle aime le fado, va voir les taureaux dans l'arène.
Mais celles du centre sont les plus rayonnantes,
Le doux regard, le sourire des tricanas.
Et celles du Nord sont plus claires, à la peau blanche,
Elles sont très joyeuses, très simples, très franches.
Où vas-tu, portugaise belle,
Reviens en arrière, viens écouter la chanson,
Et cette cape avec des rubans d'argent,
C'est elle qui réjouit et tue mon cœur.
Et le sourire avec lequel tu m'envoûtes,
Donne vie et réchauffe mon illusion.
Celles de Madère sont aussi belles que les fleurs,
Et la nature favorise celles des Açores.
Mais celles qui vivent loin de leur terre natale,
Ont quelqu'un qui les chante au Portugal.
Pour toutes, j'ai beaucoup d'amour, beaucoup de tendresse,
Sur mon chemin, il reste toujours une aventure.
Où vas-tu, portugaise belle,
Reviens en arrière, viens écouter la chanson,
Et cette cape avec des rubans d'argent,
C'est elle qui réjouit et tue mon cœur.
Et le sourire avec lequel tu m'envoûtes,
Donne vie et réchauffe mon illusion.
Ce sont les amours que j'ai déjà vécus dans ma vie,
Encore un adieu, encore un retour, le départ.
Je suis saltimbanque, je vais de terre en terre,
Et à tous, j'apporte un rêve, une chimère.
J'ai parcouru le monde, mais je suis resté avec la certitude
Que la plus douce est la femme portugaise.
Où vas-tu, portugaise belle,
Reviens en arrière, viens écouter la chanson,
Et cette cape avec des rubans d'argent,
C'est elle qui réjouit et tue mon cœur.
Et le sourire avec lequel tu m'envoûtes,
Donne vie et réchauffe mon illusion.
Née dans le Sud, elle est plus pure et plus brune,
Elle aime le fado, va voir les taureaux dans l'arène.
Mais celles du centre sont les plus rayonnantes,
Le doux regard, le sourire des tricanas.
Et celles du Nord sont plus claires, à la peau blanche,
Elles sont très joyeuses, très simples, très franches.
Où vas-tu, portugaise belle,
Reviens en arrière, viens écouter la chanson,
Et cette cape avec des rubans d'argent,
C'est elle qui réjouit et tue mon cœur.
Et le sourire avec lequel tu m'envoûtes,
Donne vie et réchauffe mon illusion.
Où vas-tu, portugaise belle,
Reviens en arrière, viens écouter la chanson,
Et cette cape avec des rubans d'argent,
C'est elle qui réjouit et tue mon cœur.
Et le sourire avec lequel tu m'envoûtes,
Donne vie et réchauffe mon illusion.