Bill Murray
IZAL
Bill Murray
Même façon de perdre l'horizontalité tranquille
Rendue au sommeil
Même façon de revenir aux arômes familiers
De l'éclat du corps
Miroir, bâillement, Mens sana in corpore vieux
Cuisine mécanique, boisson et nourriture
Je répète, moments d'attente et de mouvement
Je t'observe et quoi de mieux que le temps s'arrête
Qu'il s'arrête avec toi
Dans cette roue qui ne cesse de tourner en phase
Et que cette nuit éternelle, triple condamnation, ne finisse jamais
Dans cette roue qui ne cesse de tourner en phase
Et que cette nuit éternelle, triple condamnation, ne finisse jamais
Même salut, même adieu
Heureusement le même humour éculé
Même exercice, même destruction
La même façon de se reposer, échoué sur le même matelas
Miroir, bâillement, Mens sana in corpore vieux
Cuisine mécanique, boisson et nourriture
Je répète, moments d'attente et de mouvement
Je t'observe et quoi de mieux que le temps s'arrête
Qu'il s'arrête avec toi
Dans cette roue qui ne cesse de tourner en phase
Et que cette nuit éternelle, triple condamnation, ne finisse jamais
Dans cette roue qui ne cesse de tourner en phase
Et que cette nuit éternelle, triple condamnation, ne finisse jamais
Je sais qu'il ne me reste plus beaucoup de temps dans cette boucle sauvage
Mais laisse-moi, tant que je tiens, que je me vide de mon sang
Je sais qu'il ne me reste plus beaucoup de temps dans cette boucle sauvage
Mais laisse-moi, tant que je tiens, que je me vide de mon sang
Je sais qu'il ne me reste plus beaucoup de temps dans cette boucle sauvage
Mais laisse-moi, tant que je tiens, que je me vide de mon sang