Mi Rosalbita

Quand je t'ai rencontrée
Je souffrais de ton indifférence
Comme si la loi de la récompense n'existait pas
Pour me rendre heureux

Si je commence à me souvenir
Les heures passent lentement
Comme des tempêtes de nuages
Que le vent emporte
Sans but final

Ton souvenir vit en moi
Dans mon cœur, ma rosalbita
Comme un œillet et un jasmin
Et un parfum envoûtant, ce sont tes caresses
Pour que je vive heureux, plein de satisfaction
Toute ma vie

Parfois j'entends ces chants plaintifs
Et ainsi je te compare à une mer de sentiments
Poncho et Emiliano, mes amis fêtards
Sont des témoins fidèles de ce que je ressens

Il existe dans la vie des raisons de grande nostalgie
Et de sentiments quand on est sentimental
Quand un être humain tombe amoureux avec l'âme
Ce sont des choses, mon pote, qu'on n'oubliera jamais

Tout comme le colibri
De branche en branche il irait
Le nectar de tes arômes
Se trouve sur tes lèvres rouges
Et c'est là que je resterais

Si je commence à me souvenir
Des baisers et de tes caresses
La tendresse en toi je trouve
Je t'aime, c'est pour ça que je souffre
De sentiments moraux

Près des plages de la mer
Brûlant sous le soleil
Nous vivrions
Avec ton être enchanteur
Pour pouvoir te peindre, peintre je serais
Et ainsi pouvoir dessiner
Avec le pinceau de l'amour
Ma fiancée

Je vis convaincu avec le passage des jours
Que c'est seulement en toi que je trouve l'amour qui me manque
Si tes sentiments sont ceux d'une bonne fille
Mon noble amour, tu le mérites aussi

Si un jour je te chante juste au pied de ta fenêtre
Une sérénade de tout mon cœur
Je crois que le temps ne suffira pas pour la terminer
Parce qu'ému, je pleurerais jusqu'à mon accordéon.