Loca tuca de Dios
Fito Páez
Folle, folle de Dieu
Juste un touch
et c'est parti
Folle, folle de Dieu
j'ai pu voir, elle m'a fait voir
son infini chagrin
et en me parlant,
sans rien, aveugle face à la mer
son déclin
bébé, personne ne pressent la fin
J'ai marché là,
sous le soleil, sous le soleil
j'ai ri, j'ai ri,
de ma passion absurde
et en croisant
ma vieille et le hall
de la maison, une larme m'a échappé,
et elle a volé, volé
Ce que tu as là
j'ai besoin d'embrasser
ton sourire sans fin
et ma peur mortelle
je le sais, je le sais,
je ne veux pas te fatiguer
avec mon tango joyeux,
avec ma blessure fatale
et ainsi c'était,
c'est comme ça qu'on a passé la vie...
Au bord de lui
rien de nouveau ne s'est passé
elle aimait sa peau;
elle s'est embrassée, s'est embrassée
mais un jour, elle ne sait pas ce qui s'est passé
ses ailes se sont brisées,
et quelque chose s'est brisé
Personne ne rendra ce que le vent a emporté,
et à mes pieds, je veux voir,
un beau lion,
épuisé de lécher son cœur...
en flammes
il se dévore dans son amer ressentiment.
Ce que tu as là
j'ai besoin d'embrasser
ton sourire sans fin
et ma peur mortelle
je le sais, je le sais,
je ne veux pas te fatiguer
avec mon tango joyeux,
avec ma blessure fatale
et ainsi c'était,
c'est comme ça qu'on a passé la vie...
Fou, fou...