Las Acacias
Dueto de Antaño
Les Acacias
Il n'y a plus personne qui y vive
Et au bord du chemin, silencieuse, se tient la maison
On dirait que ses portes se sont fermées pour toujours
Ses fenêtres se sont fermées pour toujours
Le vent gémit sous les avant-toits
Les murs s'effritent
Et à ses portes, elles se balancent
Battues par le vent, les acacias
Battues par le vent, les acacias
Éprouvé, fatigué de ce voyage qu'est la vie
J'ai passé les portes de la pièce
Et une histoire m'ont raconté les acacias
Tout est mort, la joie et le brouhaha
Ceux qui étaient la joie et la chaleur de cette maison
Sont partis, certains morts, d'autres vivants
Qui avaient l'âme morte
Ils sont partis pour toujours de cette maison