Alta Marea
Antonello Venditti
Haute Marée
Autoroute déserte, aux confins de la mer,
ressens le cœur plus fort que ce moteur,
cigarettes jamais éteintes, à la radio qui parle
et moi qui conduis en suivant les lumières de l'aube.
Je sais, tu sais, l'esprit s'envole,
hors du temps et se retrouve seul,
sans plus de corps ni de prisonnière,
nait l'aurore.
Tu es en moi comme la haute marée,
qui disparaît et réapparaît en m'emportant,
tu es le mystère profond, la passion, l'idée,
tu es la peur immense que tu ne sois pas à moi.
Je sais, tu sais, le temps s'envole,
mais combien de route pour te revoir encore,
pour un regard, pour mon orgueil,
combien je te veux.
Tu es en moi comme la haute marée,
qui réapparaît et disparaît en m'emportant,
tu es le mystère profond, la passion, l'idée,
tu es la peur immense que tu ne sois pas à moi.
Je sais, tu sais, le temps s'envole,
mais combien de route pour te revoir encore,
pour un regard, pour mon orgueil,
combien je te veux.
Pour te dire combien je te veux.
Pour te dire combien je te veux.
Pour te dire combien je te veux.