Ai Mouraria
Amália Rodrigues
100%
Ô Mouraria
Ô Mouraria
Dans la vieille rue de la Palma
Où un jour j'ai
Laissé mon âme enchaînée
Pour avoir croisé juste à mes côtés un vrai fadiste
De peau mate, petite bouche, regard moqueur
Ô Mouraria
De l'homme qui me fait rêver
Qui mentait
Mais que j'aimais tant
Un amour que le vent
Comme un soupir
A emporté avec lui
Mais que je porte encore
À chaque instant
Avec moi
Ô Mouraria
Des rossignols sur les rebords
Des robes rose bonbon
Des cris traditionnels
Ô Mouraria
Des processions qui passent
De la Severa en voix nostalgique
De la guitare qui sanglote
Ô Mouraria
Des processions qui passent
De la Severa en voix nostalgique
De la guitare qui sanglote