Pero Tú
Alejandro Sanz
Mais Toi
Attends, peut-être
La fête se termine et on reste deux
Attends, rappelle-moi
Que je t'ouvre les portes de mon amour
Je ne serai pas celui qui souffle au soleil
Qui perd le rythme
Et écrase la fleur, souviens-toi, tu verras
Quand je trouverai les clés du bonheur
Allez, provoque-moi
Rappelle-moi de dire non
Au froid, à la peine, dis non à la douleur
Pousse-moi et oblige-moi à faire
Un autre pas pour avancer
Et permets-moi de te donner raison
Ta vérité écrase tout, c'est un train
Viens, approche, donne-moi de la chaleur
Et un baiser qui me décoiffe
Qui me décoiffe
Mais toi, mais toi, mais toi, mais toi, mais toi
Dis-moi d'où tu viens, tu es folle
Je sais, mais ta lumière est la plus grande
Mais toi, mais toi, mais toi, mais toi, mais toi
Dis-moi d'où tu viens
Mais peu importe, mon amour
Chaque jour, ça ne me vaut même pas
Regarde, déshabille-toi, mets du rouge à lèvres
Je mange la tristesse et je te dois la douleur
Sache que ma curiosité garde les
Meilleures vues de ta liberté
Offre-moi ta conviction
Tu me donnes des trésors que je ne connais même pas
Quelle chance, ça va nous brûler
La vie rêvée est mieux sans plus
Reclame-moi notre illusion
Exige-moi la valeur de l'intention
Regarde-moi, ne dis plus rien
Tout est si normal, que ça m'ennuie
Mais toi, mais toi, mais toi, mais toi, mais toi
Dis-moi d'où tu viens, tu es folle
Je sais, mais ta lumière est la plus grande
Mais toi, mais toi, mais toi, mais toi, mais toi
Dis-moi d'où tu viens
Mais peu importe, mon amour
Chaque jour, ça ne me vaut même pas
Je dois reconnaître que tu as du courage
Me saupoudrant de rires et de foi
Regarde, je ne serai pas celui qui coupe la fleur
La vérité, tu me surprends de plus en plus chaque jour
Je reviens à la vie
Mais toi, mais toi, mais toi, mais toi, mais toi
Dis-moi d'où tu viens, tu es folle
Je sais, mais ta lumière est la plus grande
Mais toi, mais toi, mais toi, mais toi, mais toi
Dis-moi d'où tu viens
Mais peu importe, mon amour
Chaque jour, ça ne me vaut même pas
Déshabille-toi, mets du rouge à lèvres, comme la tristesse et je te dois la douleur.