Periódico de Ayer

Laisse-moi expliquer,
Donne-moi une minute pour te parler,
Elle n'est pas ma maîtresse, non,
Elle est juste venue me rendre visite,
Tu as été une lâche, non,
Tu n'as pas hésité à partir,
Ça ne t'a pas fait mal de me quitter.

Et mon lit est devenu inconfortable,
Et l'appartement est devenu trop grand,
On devient faible quand on aime et qu'on ne reçoit pas le même sentiment,
Et j'ai pleuré, sur ses épaules j'ai pleuré,
Et on n'est pas moins homme quand on pleure,
Et tu n'es pas celle qui peut me reprocher ça maintenant.

Ton amour, c'est un journal d'hier,
Je ne sais rien et pour rien, je l'aime, si j'ai déjà tourné la page,
Et c'était ta faute,
J'ai déjà payé,
Avec les larmes que j'ai versées, tout seul. [x2]

Je me sens mal à l'aise,
Ne crois pas que je me sens bien en sachant que toi et moi,
On a tout donné,
En jurant notre amour.

Mais je n'ai pas pensé,
Je ne savais pas ce que serait ma vie sans toi,
Ce n'était pas un échec, non,
Avec toi, non,
J'ai cru en toi.

Ton amour, c'est un journal d'hier,
Je ne sais rien et pour rien, je l'aime, si j'ai déjà tourné la page,
Et c'était ta faute,
J'ai déjà payé,
Avec les larmes que j'ai versées, tout seul. [x2]

Elle est venue savoir comment va ma vie,
Parce qu'elle sait que je souffre et que mon âme est blessée,
Tout à coup, la nuit est tombée à ma fenêtre,
Et on s'est laissés emporter par nos envies.

Elle est venue parce que je suis sans toi (ooo..).
Elle est venue parce que je suis sans toi (eee..). [x2]