NI EN LOS CAFES PARISINOS
Yerai Cortés
NI EN LES CAFÉS PARISIENS
Olé, l'eau, le sel et la cantine
Ni dans les ports
Ni dans les ports italiens
Ni dans les cafés parisiens
Ni dans les ports italiens
Ni dans les cafés parisiens
Tu ne trouveras pas un amour
Plus que celui de cet alicantin
Ni dans les cafés parisiens
Ni dans les ports italiens
Tu vas trouver un amour
Amour, amour, amour
Amour, amour, amour, amour, amour
Comme celui de ce gitano
Je jette ce que je ne veux pas
Ce que je veux, je l'obtiens
Et je ne peux pas te convaincre
En te le disant encore et encore
Que je veux mourir avec toi
Ça fait deux ans que je porte
Le masque de l'étranger
Petite, enlève-le moi déjà
Que je te guéris de ta désillusion (tue-moi cette marée, mambo)
Même si ça a l'air que je ne t'aime pas
Même si ça a l'air que je ne t'aime pas
Même si ça a l'air que je ne t'aime pas
Même si ça a l'air que je ne t'aime pas
Pour ton amour, je meurs, je meurs
Pour ton amour, je meurs, je meurs
Pour ton amour, je meurs, je meurs
Pour ton amour, je meurs
Ni dans les ports italiens
Ni dans les cafés parisiens
Ni dans les ports italiens
Ni dans les cafés parisiens
Tu ne trouveras pas un amour
Plus que celui de cet alicantin
Ni dans les cafés parisiens
Ni dans les ports italiens
Tu vas trouver un amour
Amour, amour, amour
Amour, amour, amour, amour, amour
Comme celui de ce gitano
Regarde, regarde, regarde, regarde, regarde, regarde, regarde, regarde, regarde, regarde
C'est bon.