Jaime Molina
Carlos Vives
Jaime Molina
À deux amis qui s’aimaient de tout cœur, ah l’ami
Je me souviens de Jaime Molina
Quand il était bourré, il posait cette condition
Que, si je mourais le premier, il me ferait un portrait
Ou, s’il mourait le premier, il me composerait une chanson
Que, si je mourais le premier, il me ferait un portrait
Ou, s’il mourait le premier, il me composerait une chanson
Maintenant je préfère cette condition
Qu’il me fasse le portrait et pas la chanson !
Maintenant je préfère cette condition
Qu’il me fasse le portrait et pas la chanson !
Ses soirées étaient célèbres
Il ne laissait dormir aucun ami
Quand il buvait
Il m’insultait toujours
Avec des mots d’affection qu’il savait dire
Quand il buvait
Il m’insultait toujours
Avec des mots d’affection qu’il savait dire
Puis il s’asseyait sur mes genoux
Il me racontait une blague et se mettait à rire !
Puis il s’asseyait sur mes genoux
Il me racontait une blague et se mettait à rire !
Ah compadre, si tu voyais comme Rafa se souvient de lui
Il ne fait que pleurer !
Tout a commencé quand nous étions jeunes
Jaime Molina m’a appris à boire
Où qu’il soit, il était avec moi
Et où que je sois, j’étais avec lui
Où qu’il soit, il était avec moi
Et où que je sois, j’étais avec lui
Maintenant ça me fait mal qu’il soit parti
Je suis resté sans Jaime et lui sans Rafael
Maintenant ça me fait mal qu’il soit parti
Je suis resté sans Jaime et lui sans Rafael
Un hommage simple
Pour les peintres et poètes de la vallée
Ah l’ami