Mujeres Divinas
Vicente Fernández
Femmes Divines
En parlant de femmes et de trahisons
Les bouteilles se vidaient peu à peu
On m'a demandé de chanter mes chansons
Et j'ai chanté deux, mais contre elles, c'est vrai
Soudain, un homme s'est approché
Ses cheveux commençaient à grisonner
Il m'a dit : Je vous en prie, mon ami
Ne parlez pas des dames en ma présence
Je lui ai dit qu'on parlait simplement
De la façon dont on nous a trahis
Que si quelqu'un pensait autrement
C'est qu'il n'a jamais été trahi, c'est tout
Que si quelqu'un pensait autrement
C'est qu'il n'a jamais été trahi, c'est tout
Il m'a dit : Je suis l'un de ceux
Qui a le plus supporté les échecs
Et les femmes m'ont toujours laissé
En larmes, l'âme en mille morceaux
Mais je ne leur reproche jamais mes blessures
On doit souffrir quand on aime, c'est ça
Les heures les plus belles de ma vie
Je les ai passées aux côtés d'une dame
On pourrait mourir dans les bars
Et jamais on ne pourrait les oublier
Femmes, oh, femmes si divines
Il n'y a pas d'autre chemin que de les adorer
Femmes, oh, femmes si divines
Il n'y a pas d'autre chemin que de les adorer