DE MARAVISHA (part. NATHY PELUSO)

Cha
Ouais
Cha
Ouais

Frappe ça, frappe ça, monte la macana
Mochi de crème, je suis Hannah Montana
Je fais ce qui me plaît, je fais ce que je veux
Je suis latina, mais je rappe comme une allemande

Ici il fait chaud, ici il y a du son
Ici il y a du bifteck, ici il y a du combo
La nuque à l'air, style tomboy
Je fais frémir les frites, j'apporte le bazar

Philosophie avec de la mayonnaise
Devant le miroir, pure beauté
Sexe, danger, sexe, cerise
Et des maths sur la table

Talons aiguilles, chapeaux Prada
Je me suis levée avec la tête dans le gaz
Je suis Peluso et je suis la fille de ma mère (maman)
Et j'ai pas de petit chien qui me aboie

Celle qui n'est pas une chienne, elle stresse
Je la laisse frite comme une milanaise
Savoureuse comme une portugaise
Une reine, si tu me demandes, on m'adore et on me prie

Chauffée comme YOVNGCHIMI
Trafic d'huile d'olive dans une Tumi
J'arrive en retard et je dis pas : Désolé
Je suis la chef, je dis pas : S'il te plaît

Je ne te fais pas plaisir, bébé, t'es viré
J'ai la note haute, do soutenu
Ce que j'ai, c'est un produit interdit
Ah, même moi je sais pas où je le trouve (merde)

Stop, stop, tire, tire, je suis bien
Et j'ai envie de me faire belle dans les toilettes comme une mauvaise
Je dois toujours appliquer la piquetúa, visage fin
Le sourire glacé, froid, diamanté

Avec la Tokischa, c'est de la folie
Avec la Tokischa, c'est de la folie
Avec la Tokischa, c'est de la folie
Avec la Tokischa, c'est de la folie

Avec la Tokischa, on fait ça de la folie
Je lui dis : Qu'est-ce que tu veux ?, et elle me dit : Perreo
Écoutant Don Omar dans la cuisine
On voit que j'aime vivre dans le mouvement

Oh, je veux un petit chat qui me pleure et me griffe
Qui me dit mamacita, qui me manque
Et-Y-Y-Y-Y qui me danse le reggaeton
Que là où ça chauffe, elle me mette du jus de citron

Chaton, maman, chatte serrée, chatte boss
Je porte toujours la culotte au-dessus du jean
Avec les seins à l'air pour qu'ils prennent le soleil
Parfum Tom Ford, rouge à lèvres Christian Dior

Peu de vêtements, vin dans un verre, une mauvaise chaude
Sandunguera dangereuse, une mafieuse de la rue
Ce cul est juteux comme de la viande argentine
Je le mange à la main sur une table de bureau

Avec la Tokischa, on fait ça de la folie
Je lui dis : Qu'est-ce que tu veux ?, et elle me dit : Perreo
Écoutant Don Omar dans la cuisine
On voit que j'aime vivre dans le mouvement

Cuisinant du bellaqueo, teteo
Transpirant, guacha, sandunguea

Des billets dans le portefeuille
Je vais à la banque habillée en Gucci
Je ne dis pas je t'aime à n'importe qui
Marijuana avec Natasha Beluchi