Ese Verano (Que Sí, Que No) (part. Nil Moliner)

Aujourd'hui les nuits restent vides
Il n'y a plus de mots
À cause du vin, je me suis assis à me souvenir
Les lumières ici dans la ville s'éteignent déjà
Et le verre me demande
Si un jour je vais revenir

À ces nuits où on dansait, les cheveux au vent
Et ce couple en larmes se déchirant en deux
Comme j'aimerais revenir à cet été-là
Le revivre avec toi à mes côtés
Sauf pour le dernier adieu

Retournons là où la mer nous voit
Là où le cœur ne faisait pas mal
Que oui, que non, que oui, que non
Je ne sais pas si tu te souviens
Qu'on passait des étés à chanter la même chanson

Allons noyer toutes nos peines
Portons un toast à ce que le vent a emporté
Que oui, que non, que oui, que non
Que le temps nous ramène
Toutes les nuits à chanter, perdant la voix

Même si tu marches maintenant avec une autre main
J'espère que ça te plaît autant
Ce que nous étions autrefois
Que ce soit de ces histoires qu'on raconte
Avec des amis et quelques verres, regardant la nuit tomber
Et maintenant que tout a été dit et que tout est passé
Et que ces mots
Sont devenus chanson
La vie m'a finalement appris
Que peu importe les années qui passent
On pourra revenir à l'endroit où tout a eu lieu

Retournons là où la mer nous voit
Là où le cœur ne faisait pas mal
Que oui, que non, que oui, que non
Je ne sais pas si tu te souviens
Qu'on passait des étés à chanter la même chanson

Allons noyer toutes nos peines
Portons un toast à ce que le vent a emporté
Que oui, que non, que oui, que non
Que le temps nous ramène
Toutes les nuits à chanter, perdant la voix

Retournons là où la mer nous voit
Là où le cœur ne faisait pas mal
Que oui, que non, que oui, que non
Je ne sais pas si tu te souviens
Qu'on passait des étés à chanter la même chanson
Allons noyer toutes nos peines (les peines du cœur)
Portons un toast à ce que le vent a emporté (oh il a emporté, oh il a emporté)
Que oui, que non, que oui, que non
Que le temps nous ramène
Toutes les nuits à chanter
Perdant la voix