Maria Soliña
Teresa Salgueiro
100%
Maria Soliña
Sur les chemins de Cangas
la voix du vent gémissait :
Ah, quelle solitude tu as,
Maria Soliña.
Dans les plages de Cangas
les murs se dressaient la nuit :
Ah, quelle solitude tu as,
Maria Soliña.
Les vagues de la mer de Cangas
Des échos aigus engloutissaient :
Ah, quelle solitude tu as,
Maria Soliña.