Polvere (feat. Capo Plaza)
Tedua
Poussière (feat. Capo Plaza)
Gang
Moolah, moolah
Gang
Je voulais pas de mal, je cherchais juste du bon, ouais
Le bruit de la mer quand on fumait ensemble
Et avant de voler, faut apprendre à tomber, ouais
La jungle urbaine appelle et on répond toujours : Allô, ouais
Tu crois que je te mens, zéro excuses, les mains sur la tête, ouais
Tu peux faire semblant, on est rien et on est tout, mais c'est quoi cette histoire, ouais
Maintenant oui, il fait déjà jour, je dors pas, je fume encore un peu
Tu sais pas ce que j'ai traversé, j'ai aussi vu le gouffre
Fuis ces hyènes et fais vite
Dans le futur, j'ai vu le salut
Avant, des murs blancs dans la chambre, bébé
Mon pote prend des risques juste pour sa fille
Je prendrai le monde pour toi et pour ma petite
Je prends une respiration, puis j'attends ce moment
On est jeunes, mais on a grandi trop vite, yah, yah
Quand je te verrai sans hype, vulnérable
Tu reviendras vers les autres parce que tu vas là où le vent souffle
J'hésiterai pas à lever les défenses
Le pont-levis de mon château
Crocodiles, son de drill, Cogoleto
Avec les potes dans la trap house à Salerne
Tout ce que t'as vu, ça reste en toi
C'est de la poussière sous le tapis
Ye-yeah, c'est pas ma faute
Ces immeubles-cages, je dois partir, ye-yeah
C'est pas ma faute, désolé bébé, bébé, c'est pas ma faute, ye-yeah, hey
Plus de fric et j'ai moins de frères qu'avant
Je me souviens sur un Beverly en balade
Chaque jour, ouais, à six heures du matin, ouais
Elle fait un safari avec la fami'
Pour les affaires, éteins les phares des gars en Maserati
Ils font des pas de géants
Elle me garde les billets dans ses collants collés
Les jets décollent, frangin, j'ai le temps compté
Je suis pas en panique parce que
Ce micro' tire, mais toi
T'as pas de balles dans le chargeur et tu dois
Poser l'arme si tu sais pas t'en servir, bang
Coupe longue comme Inzaghi
Coupe courte quand tu parles
Ryan contre tout le monde
Laisse tes clés contre le mur
Connecte-toi comme des câbles électriques avec les immeubles
J'ai rien si tu m'aimes pas
Pour moi, permets-moi de dire que toi et moi, on est la même chose
Et on pourrait se dire : Salut, comment, adieu, je m'en fous
On a fait la guerre, on s'en va de la merde
On est la seule drogue
On m'a dit qu'un souvenir, plus tu y penses, plus il s'efface
Comme des tickets de caisse ou des photos
Alors je pense à ce qui m'a fait souffrir
Seulement si j'écris des rimes, frère, ça me rend fou
C'est pas ma faute
Ces immeubles-cages, je dois partir, ye-yeah
C'est de la poussière sous le tapis