the last great american dynasty

Rebekah est montée dans le train de l'après-midi, il faisait beau
Sa maison en bois sur la côte lui faisait oublier Saint-Louis
Bill était l'héritier du nom et de l'argent de Standard Oil
Et la ville disait : Comment une divorcée de la classe moyenne a-t-elle fait ça ?
Le mariage était charmant, un peu gauche
Il n'y a qu'un certain temps que l'argent nouveau peut aller
Ils ont choisi une maison et l'ont appelée Holiday House
Leurs soirées étaient de bon goût, un peu bruyantes
Le médecin lui avait dit de se poser
Ça devait être de sa faute si son cœur a lâché
Et ils disaient

Voilà la dernière grande dynastie américaine
Qui sait, si elle n'était jamais arrivée, ce qui aurait pu être
Voilà la femme la plus folle que cette ville ait jamais vue
Elle a passé un temps merveilleux à tout ruiner

Rebekah a abandonné le groupe de Rhode Island pour toujours
Elle a fait venir tous ses amis de la ville
Elle a rempli la piscine de champagne et a nagé avec les grands noms
Et a dépensé l'argent pour les garçons et le ballet
Et a perdu aux paris de cartes avec Dalí
Et ils disaient

Voilà la dernière grande dynastie américaine
Qui sait, si elle n'était jamais arrivée, ce qui aurait pu être
Voilà la femme la plus sans vergogne que cette ville ait jamais vue
Elle a passé un temps merveilleux à tout ruiner

On dit qu'on l'a vue de temps en temps
Arpentant les rochers, regardant la mer à minuit
Et dans une querelle avec son voisin
Elle a volé son chien et l'a teint en vert lime
Cinquante ans, c'est long
Holiday House était assise tranquillement sur cette plage
Libérée des femmes folles, de leurs hommes et de leurs mauvaises habitudes
Et puis elle a été achetée par moi

Qui sait, si je n'étais jamais arrivée, ce qui aurait pu être
Voilà la femme la plus bruyante que cette ville ait jamais vue
J'ai passé un temps merveilleux à tout ruiner

J'ai passé un temps merveilleux à tout ruiner
Un temps merveilleux à tout ruiner
Un temps merveilleux
J'ai passé un temps merveilleux.