María

Mais que c'est beau.
Voici l'histoire de María.
Peut-être que tu l'as vue un jour.

Elle se réveille à l'aube,
elle a le poids du travail sur ses épaules.
María n'aime pas souffrir.

On l'a laissée à son sort.
Quand tu as besoin d'un homme fort.
Elle se bat tous les jours pour nourrir son enfant.
Peut-être qu'elle te ressemble, à toi et à moi.

REFRAIN :
María se lève tous les jours.
Elle se baigne à l'eau froide pour affronter un nouveau jour, María.
María a un passé qu'elle n'oublie pas.
Une vie d'ironie, de passé et de bravoure.
Oh oh oh oh, ohoo
Pauvre María.

Et elle rêve de la vie de princesse.
Elle passe devant les vitrines et elle rêve.
Essayer une belle robe, l'emporter avec elle.
À voir si ce prince charmant qu'on veut toutes apparaît.
Tu t'imagines.

REFRAIN :
María se lève tous les jours.
Elle se baigne à l'eau froide pour affronter un nouveau jour, María.
María a un passé qu'elle n'oublie pas.
Une vie d'ironie, de passé et de bravoure.
Oh oh oh oh
Mais que c'est beau. Pauvre María.

Ne cesse jamais de rêver, María.
La foi est ce qui t'a gardée en vie.
Lutte toujours et vis pour ton enfant.
Avance, ma bonne amie.

María n'aime pas souffrir.
Elle veut réussir à être heureuse.
Elle sait que c'est difficile.
Là. Là, María.
María n'aime pas souffrir.
Elle veut réussir à être heureuse, María.

Mais que c'est beau.

Quelle saveur.

REFRAIN :
María se lève tous les jours.
Elle se baigne à l'eau froide pour affronter un nouveau jour, María.
María a un passé qu'elle n'oublie pas.
Une vie d'ironie, de passé et de bravoure.

Là, María.

Je suis comme toi et comme toi et comme moi, María.
Qui l'aurait cru.
Elle se lève tous les jours pour nourrir son enfant.
Je suis comme toi, María. Qui l'aurait cru.
Toute cette histoire de María pourrait être la tienne, amie.
Je suis comme toi, María. Qui l'aurait cru.
Elle se lève tous les jours. Elle se baigne à l'eau froide.
Pas de chauffe-eau dans la maison, mon frère.
Je suis comme toi, María. Qui l'aurait cru.

Je suis comme toi, María. Qui l'aurait cru.
Je suis comme toi, María. Qui l'aurait cru.