La Torre

Je ramène l'âme au son de mon vieux port
Entre des notes invisibles d'un farceur
Son détendu d'un chant légitime déformé
De l'exil de l'imagination
J'ai erré parmi des gens et des terres qui m'ont adopté
Et en échange d'un rire, des échos d'histoire
Dans les rues d'une sagesse oubliée
De nuits indomptables, chaudes de gloire

Paladins de vieux sièges poussiéreux à l'apparence nouvelle
Recrutés par des prédicateurs idiots
Dans la torture des illusionnistes, pas de différence
Entre les nuages et les illusions

Domptant des vœux, merci, mais je ne sais pas vivre de fausses blagues
Je ne demande pas pardon mais il est tard, sur mes routes j'ai une autre histoire qui attend..
Parce que dans la tour, je ne peux pas rester !

Alors je ramène au cœur loin de ce vieux port
Loin où il n'y a pas de place pour un farceur
Heureux et stable sur l'équilibre d'un destin ressuscité
Mais loin de l'illusion
Si un demain éteint me réprimande
Pour un cirque instable en délire de liberté
Je suis l'appel des anciennes gloires
Sur le chemin oublié pour remonter
Parce que j'ai encore du souffle pour repartir !

Domptant des vœux, merci, mais je ne sais pas vivre de fausses blagues
Je ne demande pas pardon mais il est tard, sur mes routes j'ai une autre histoire qui attend..
Parce que dans la tour, je ne peux pas rester.