BUENOS AIRES (part. Mora, Zion)

Ouh-oh-oh, oh-oh-oh

Elle en a marre qu'on la contrôle
Toujours en train de se battre, toujours à l'appeler
Et elle, encore une fois, se vautre
Dans mon lit à regarder le lever du jour
Ces yeux couleur café
Je fondrais si elle me voit
Qu'ils aillent se faire foutre s'ils nous voient

Et il se fait tard, alors dépêche-toi
L'horloge est notre ennemie
Tu sais où je vis
Tu n'as qu'à venir
Pour te faire ce petit truc qui te coupe le souffle
On s'en va en première classe pour Buenos Aires

Elle a dit : Ils vont nous voir
Et je lui ai dit : Et alors ?
C'était censé arriver ? Je l'avais prédit
Je me suis approché d'elle sans même expliquer

C'était un jeudi et elle est restée tout le week-end
En le demandant tout entier, moi bien galant
Par courtoisie, en entrant, j'ai enlevé mon chapeau
Mademoiselle, lero, lero, si je suis sincère
Je me fous de ce que pensent les autres

Il se fait tard, alors dépêche-toi
L'horloge est notre ennemie
Tu sais où je vis

Tu n'as qu'à venir
Pour te faire ce petit truc qui te coupe le souffle
On s'en va en première classe pour Buenos Aires

En le demandant tout entier, moi bien galant
Par courtoisie, en entrant, j'ai enlevé mon chapeau
Mademoiselle
Zion, bébé