Olsun
Sertab Erener
Laisse faire
Maintenant, on n'a plus de masques
Plus de mensonges à cacher
Laisse faire
Prends les photos
Les saisons sont déjà à moi
Allez, laisse faire
On partagera ces poèmes
Les amis, les villes
Quoi qu'il arrive, laisse faire
Maintenant, on n'est plus libres
Ni même notre vie n'est libre
Allez, laisse faire
Je pars à Istanbul, c'est à toi
Je pars à Istanbul, c'est à toi
Je prends ma tête, ma tête est une rivière folle
J'efface mes larmes, j'efface mon nom de la ville
Je me fais couper les cheveux, je me console
Je fais sécher une rose, si elle se fane, j'oublie
J'écrirai une lettre, plus lourde que ton absence
Je prendrai un chat, appelle ta mère
Tes mains sont dans ma tête, ton amour reste dans mon cœur
Toujours des déceptions, toujours des peines, dis-le, laisse faire
Maintenant, on n'a plus de masques
Plus de mensonges à cacher
Laisse faire
Prends les photos
Les saisons sont déjà à moi
Allez, laisse faire
Je pars à Istanbul, c'est à toi
Je pars à Istanbul, c'est à toi
Je prends ma tête, ma tête est une rivière folle
J'efface mes larmes, j'efface mon nom de la ville
Je me fais couper les cheveux, je me console
Je fais sécher une rose, si elle se fane, j'oublie
J'écrirai une lettre, plus lourde que ton absence
Je prendrai un chat, appelle ta mère
Tes mains sont dans ma tête, ton amour reste dans mon cœur
Toujours des déceptions, toujours des peines, dis-le, laisse faire
Je prends ma tête, ma tête est une rivière folle
J'efface mes larmes, j'efface mon nom de la ville
Je me fais couper les cheveux, je me console
Je fais sécher une rose, si elle se fane, j'oublie
J'écrirai une lettre, plus lourde que ton absence
Je prendrai un chat, appelle ta mère
Tes mains sont dans ma tête, ton amour reste dans mon cœur
Toujours des déceptions, toujours des peines, dis-le, laisse faire