Contra Todos
Robe Iniesta
Contre Tous
Contre tous
Encore une fois, je me lève contre tous
Si la vie, je me demande encore
Si dans la vie je me trompe encore
Maintenant que maintenant je suis, que je suis si seul
Dis-moi, pour te chercher, où es-tu
Car je sais qu'il y a une autre façon
Je ne me laisse pas porter par le destin
J'ai cherché toute ma vie
J'ai trouvé le moyen de m'échapper
Je suis sorti du chemin pour marcher
Nécessaire
Pour moi, cette chanson est nécessaire
Tout le monde me dit : Pourquoi
Si elle ne reviendra jamais, jamais ?
Et c'est pour ça que je leur fais face
Et c'est pour ça que je me retourne
Je vais toujours à contre-courant
De la nuit, la couleur, je veux voir
Et m'éloigner des gens
Et m'éloigner de tout ce en quoi ils croient
Et oublier comment revenir
Oh-oh-oh-oh !, sur le chemin droit
Par le plus tordu, je viens direct
Oh-oh-oh-oh-oh !, à te parler
De nos droits constitutifs (oh-oh-oh-oh-oh)
Et à la pâle lumière de la Lune
Une doute arrive, elle me demande si je ne t'attends plus
Et cette fleur, que tu sais qu'elle est à toi
Elle se dépouille, se souvenant du contact de tes cheveux
Non, que je ne te revoie jamais
Que je ne te touche plus
Le lever du jour a décidé
Air, air, il me manque de l'air
Air, il me manque le sol
Air, ici il manque un tonnerre
Pour toi, la lumière de l'aube
Oh, se plaint de te voir seule
Et maintenant elle arrive plus tôt
Et moi, la lumière de la Lune
Oh, ne veut pas me laisser dans le noir
Et me prend par la main
Pour t'enlacer quand je suis perdu
Dis-moi où tu es. Froid, froid, froid !
Et me lancer dans le vide
Dis-moi où tu es. Froid, froid, froid !
Froid, froid, froid !
Incendiaire
Tout le monde dit que je suis un incendiaire
Que j'allume des feux juste en parlant
Et que mourir ne m'importe pas, ça m'est égal
Jusqu'au jour où ça tombera sur le calendrier
Et ce n'est pas que je m'inquiète de trébucher
Toujours sur la même pierre
Je dois me cogner la tête
Toujours sur la même pierre
Du passé, je ne peux rien changer
L'avenir, je suis déjà en train de le changer
Oh-oh-oh-oh !, sur le chemin droit (oh-oh-oh-oh-oh-oh)
Par le plus tordu, je viens droit
Oh-oh-oh-oh-oh !, à te parler (oh-oh-oh-oh-oh)
De nos défauts constitutifs (oh-oh-oh-oh-oh)
Et à la pâle lumière de la Lune
Une doute arrive, elle me demande si je ne t'attends plus
Et cette fleur, que tu sais qu'elle est à toi
Elle se dépouille, se souvenant du contact de tes cheveux
Et t'enlacer quand je suis perdu
Dis-moi où tu es. Froid, froid, froid !
Et me lancer dans le vide
Dis-moi où tu es. Froid, froid, froid !
Froid, froid, froid !
Et t'enlacer quand je suis perdu
Dis-moi où tu es. Froid, froid, froid !
Et me lancer dans le vide
Dis-moi où tu es. Froid, froid, froid !
Froid, froid, froid !
Froid, froid, froid !