Como Yo (part. Agus Bernasconi)

Quand tu veux, maestro

Je t'ai mentionné plusieurs fois dans une chanson
J'ai essayé de me convaincre que c'était le mieux
Mais parfois l'orgueil joue un rôle
Et remet le jeu en pente raide encore une fois

Mais il n'y a pas de barrières qui puissent me stopper
Si vivre sans ton sourire n'a jamais été une option
Je sais que c'est une partie du chemin de percuter le mur
Et redevenir ce que nous étions autrefois

Et c'est que personne ne te connaît comme moi
Chaque détail qui est en toi
Parce que personne ne peut t'aimer comme moi
Pourquoi as-tu choisi de ne pas rester ici ?

S'il nous reste encore mille histoires à raconter
S'il nous reste le premier baiser dans ce train
Mens-moi et dis-moi que c'est dans ton plan
Que c'était un mauvais rêve, que ce n'était pas vrai

(Raises les mains, Movistar)

La vie passe
Le froid m'enlace
Mon humeur change seulement quand je vois ta photo
Je voudrais rester
À regarder tes yeux
Guérissant la blessure d'un cœur brisé

Quatre heures marquait l'horloge
Et moi sans pouvoir embrasser le silence
Donne-moi une raison
Quel a été notre erreur ?
Dis-moi, pourquoi diable avons-nous échoué tous les deux ?

Parce que personne ne te connaît comme moi
Chaque détail qui est en toi
C'est que personne ne peut t'aimer comme moi
Pourquoi as-tu choisi de ne pas rester ici ?

S'il nous reste encore mille histoires à raconter
S'il nous reste le premier baiser dans ce train
Mens-moi et dis-moi que c'est dans ton plan
Que c'était un mauvais rêve, que ce n'était pas vrai
(Woah, uh, woah)

(C'est le cri des célibataires, Movistar)
(Applaudissements, mec)

Merci beaucoup
Merci, Movistar Arena
Merci, Chino, mon cher, à toute la bande
Merci d'être là, frère