Atlas
Pommelien Thijs
Atlas
J'ai du sable dans mes poches et du vent dans mes cheveux
L'espoir que j'avais, est bien en place
Je dois déplacer des montagnes, ma veste pèse un poids
J'avais de l'eau dans la paume de ma main
Je l'ai ramenée à la mer, j'ai nagé vers le rivage
Jusqu'à ce que petit à petit la côte change
Tu as dit que c'était fini, m'as appelé ton atlas
Désolé de te porter encore sur mes mains
Tu fais comme si de rien n'était, j'ai trop donné, mais merde ça
Mon Dieu, tu es complexe, mais j'aime ça
Alors je vends mes affaires, construis des maisons en carton
Le prix que je paie pour croire que c'était possible
Je savais que c'était lourd, pas que ce n'était pas vrai
Ton monde sur mes épaules, jamais l'inverse
Jamais l'inverse
(Ah, ah)
Jamais l'inverse
(Ah, ah)
Tu avais un boulet au pied, tu ne savais pas que j'étais là
Tu m'as traîné dans la boue, puis
J'ai demandé ce qu'il y avait sur ta poitrine, y a-t-il encore de la place pour moi ?
Je savais que ça allait bien se passer, mais le moment était déjà passé
Tu as dit que c'était fini, m'as appelé ton atlas
Désolé de te porter encore sur mes mains
Tu fais comme si de rien n'était, j'ai trop donné, mais merde ça
Mon Dieu, tu es complexe, mais j'aime ça
Alors je vends mes affaires, construis des maisons en carton
Le prix que je paie pour croire que c'était possible
Je savais que c'était lourd, pas que ce n'était pas vrai
Ton monde sur mes épaules, jamais l'inverse
Jamais l'inverse
Je voulais pouvoir brûler nos semaines rituelles
C'est trop demander ?
Avec le recul, c'étaient des semaines instables, je me casserais les deux jambes
Si tu le demandais
Mais tu as dit que c'était fini, m'as appelé ton atlas
Désolé de te porter encore sur mes mains
Tu fais comme si de rien n'était, j'ai trop donné, mais merde ça
Mon Dieu, tu es complexe, mais j'aime ça
Alors je vends mes affaires, construis des maisons en carton
Le prix que je paie pour croire que c'était possible
Je savais que c'était lourd, pas que ce n'était pas vrai
Ton monde sur mes épaules, jamais l'inverse
Jamais l'inverse