La Cachaba
Parrita
La Cachaba
Nervos de métal brûlant
Errent dans les rues désertes
Des voix qui crient
Kimeras, gitans d'antan
S'emplissant d'air
Des enfants qui pleurent à l'aube
Des enclumes qui restent muettes
Des lamentations de lune claire
Des lumières qui s'éteignent
Un couloir sombre
La cachaba, de mon père
C'est une branche de frêne
Qui fend l'air
La cachaba, de mon père
C'est une branche de frêne
Qui fend l'air
L'acier et les métaux
Dans la forge se dominent
Et le bronze des gitans
Se fond dans les mains
C'est une ruine
Dans l'horloge de la nuit
Les temps se sont arrêtés
Et une colombe nue
Dit à la lune
Donne-moi ton réconfort
La cachaba, de mon père
C'est une branche de frêne
Qui fend l'air
La cachaba, de mon père
C'est une branche de frêne
Qui fend l'air
Nervos de métal brûlant
Errent dans les rues désertes
Des voix qui crient
Kimeras, gitans d'antan
S'emplissant d'air
Quelle joie ça me donnerait
Que gagne celui qui sait le mieux
Et que la force ne soit pas
Raison ni motif de celui
Qui ne vaut rien
La cachaba, de mon père
C'est une branche de frêne
Qui fend l'air
La cachaba, de mon père
C'est une branche de frêne
Qui fend l'air
La cachaba, de mon père
C'est une branche de frêne
Qui fend l'air
La cachaba, de mon père
C'est une branche de frêne
Qui fend l'air