Uzakların Türküsü
Özlem Özdil
La Chanson des Lointains
Une sombre fin d'après-midi
Je me promène, mélancolique
Mon regard se perd au loin
Je suis devenu un rêve, une illusion
La ville brûle, la mer se tait
Les usines crachent du poison
Ces lieux ne nous ressemblent pas
Je suis devenu un pays pour moi-même
Celui qui défend à sa tête
Se retrouve au cœur de la révolte
Mon âme est usée, ce corps
Est devenu bien trop abîmé