ZAZA (part. Victor Mendivil)
Óscar Maydon
ZAZA (feat. Victor Mendivil)
Comment j'ai acheté la montre ?
Elle me dit : Qu'est-ce qui se passe ?
Mauvais garçon, je vous jure que je ne suis pas
Eh, mais j'ai une nouvelle maison
Le quartier se remplit de fesses
Mec, comme il y a de la graisse
La weed que je fume
Eh, les putes m'adorent
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Je ne sais pas ce qui m'arrive
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Ma mère m'appelle
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Il y a de l'argent à la maison
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Les putes m'adorent
C'est pareil un lundi qu'un samedi
Ils demandent comment je fais
Le film, le jacuzzi, la tusi, dans ton pussy
Ça me rend bien traversé
Je n'aime pas, mais j'adore
Lentement, lentement et personne ne me dépasse
Mais j'aime, mais j'adore
Le soleil est sorti et je ne veux pas rentrer
Je suis le meilleur que tu aies jamais connu
Peut-être que je ne serai jamais là, mais tu peux compter sur moi
Ne te méprends pas, je ne suis pas ton ami
Je veux te baiser, être mignon aussi
Lomecan lover, pure fille bien
C'est quatre fesses (quel bon dîner)
Je suis le meilleur que tu aies jamais connu
Peut-être que je ne serai jamais là, mais tu peux compter sur moi
Ne te méprends pas, je ne suis pas ton ami
Je veux te baiser, être mignon aussi
Lomecan lover, pure fille bien
C'est quatre fesses (quel bon dîner)
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Je ne sais pas ce qui m'arrive
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Ta pute m'appelle et me dit : Qu'est-ce qui se passe ?
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Il y a de l'argent à la maison
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Les putes m'adorent
Lentement, mets play à ma carrière
Aujourd'hui j'ai de l'argent, demain peut-être je meurs
Et si je meurs, on part contents
Quelque chose que la mort ne pourra pas me prendre
Voir ma bande chanter mes corridos
Ça, pour la tombe, je vais l'emporter
La baby est psychique
Elle vit déjà dans ma tête
Posant nue
Elle bouge avec le flow de Miami
Et avec vue sur la mer
Champagne et étoiles
Je veux et je veux plus
Baiser dans un Penthouse
Putes, tusi, Miami
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Je ne sais pas ce qui m'arrive
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Ma mère m'appelle
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Il y a de l'argent à la maison
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Les putes m'adorent
Et nous voilà dans le studio à Miami, les gars
Et on vient de faire cet putain d'hymne
Ding-ding-ding-ding
Chaîne de maîtres joailliers
Ça fait juste cling-cling-cling-cling
Comme le Chino Antrax, portant du Louboutin
Une pute américaine que j'ai emmenée à Punta Cana
Elle se lève le matin avec mon pyjama
Elle demande si ça va, photos au Taj Mahal
Avec des arabes sur Insta, des modèles de magazine
Les diamants apparaissent dans les stories
Les tatouages de ta meuf, je les connais par cœur
Je la fais faire la Genkidama
Et je porte la pute que tu veux comme dame
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Une maison autour du cou
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Riche ou mort, c'est le sceau
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Il pleut de l'argent
(Zaza, zaza, zaza, zaza)
Flow Mayweather, je meurs
J'ai une nouvelle maison et je roule en Rolls-Royce
Eh bien, même si on me l'offre, Miami, une mami pour moi
Sur le tatami, dis-moi combien elles sont et elles sortent
Tu sens un Casio avec une banque, que je te coupe l'herbe sous le pied
Anneaux, chaînes, condamnations, les nénettes me rendent bien fou
Je rigole de comment tout a changé et je vais, portant des colliers
Elekes, les chèques, pour que tu vois comment on se débrouille
Et je ne dors pas, je vis la nuit, tout en noir, vert est la Corvette
Je tire les cheveux, zéro reproche et, à ton soutien, les broches gênent