Desde Que Te Marchaste
Oscar Agudelo
Depuis que tu es parti
Depuis que tu es parti, je dors presque plus
Il y a des nuits où je me réveille avec l'envie de pleurer
Je rêve de tant de choses qui me font tellement peur
Que je préfère la mort à la douleur d'attendre
En vain, cette nuit-là, je t'ai dit de revenir
Que si tu ne revenais pas, ce serait ma perdition
Tu vois, à genoux, j'ai supplié que tu ne partes pas
Tu vois que mon cœur ne supporte pas ton absence
Je te jure que dans mes délires fous, je t'appelle, on dirait que je t'ai
Encore à mes côtés
Et j'ai tant souffert, j'ai tant pleuré que ma poitrine me fait mal
Et en vain, je t'ai attendu
Il y a des nuits où je t'attends avec tant d'ardeur
On dirait que je te vois revenir
Mais tout n'est qu'un mensonge, je détruis mon rêve
Mon seul réconfort la nuit, c'est de pleurer
Je n'ai plus de répit, je suis toujours calme
Je pressens des milliers de choses qui peuvent arriver
Je ressemble plutôt à un fou, confus et sans style
Je n'aurais jamais pensé qu'on pouvait aimer une femme à ce point
Je te jure que dans mes délires fous, je t'appelle, on dirait que je t'ai
Encore à mes côtés
Et j'ai tant souffert, j'ai tant pleuré que ma poitrine me fait mal
Et en vain, je t'ai attendu.