Los Relatos Del Arriero
Octavio Mesa
Les Récits de l'Âne
Je suis paysan des durs
Et je suis muletier de profession
Je m'en fous complètement, ça ne m'intéresse pas
Je ne motive aucun abruti
Je traverse des chemins en conduisant des mules
Prenant un verre et mangeant des fruits
Des femmes désabusées
Je ne tombe amoureux même pas pour le plaisir.
Je porte des espadrilles et un bon machette
Et je n'ai jamais été un chouchou
Je ne m'attache pas à ce que j'ai
Ni à ce monde de grand salaud.
Je suis un muletier de caractère
Et je ne crois qu'aux lâches
Je n'ai été le bouc émissaire d'aucune chienne
Encore moins pour être un salaud (bis).
Accélère le pas, mule fils de pute
Car bientôt il va faire nuit
À l'auberge m'attend
L'aguardiente et une femme.
Sur une charge, je me pose le cul
Pour prendre un verre et jouer de la guitare,
Je ne pense qu'à une salope
Qui m'a presque attrapé.
Maintenant je prends le chemin du haut
Ne reste pas là, mule de merde
Ne fais pas tomber la charge
Parce que je te tue, mule de con.
Je suis un muletier de caractère
Et je ne crois qu'aux lâches
Je n'ai été le bouc émissaire d'aucune chienne
Encore moins pour être un salaud (bis).
Accélère le pas, mule fils de pute
Car bientôt il va faire nuit
À l'auberge m'attend
L'aguardiente et une femme.
Sur une charge, je me pose le cul
Pour prendre un verre et jouer de la guitare,
Je ne pense qu'à une salope
Qui m'a presque attrapé.
Maintenant je prends le chemin du haut
Ne reste pas là, mule de chienne
Ne fais pas tomber la charge
Parce que je te tue, mule de con.
Je suis un muletier de caractère
Et je ne crois qu'aux lâches
Je n'ai été le bouc émissaire d'aucune
Encore moins pour être un salaud (bis)