Sobre La Arena
Niña Pastori
Sur le Sable
Et cette façon de regarder
Que tes yeux verts ont
Et cette manière de marcher
Qui m'amuse tant
Tu sais que je t'aime
Même si tu es ma mort, olé, olé
Depuis que je t'ai vu, tu m'as déchiré l'âme
Quand je me suis imprégné de la lumière de ton visage
Et maintenant que je t'ai près de moi
Et que tu es dans mon lit
Je voudrais t'aimer tant, tant et tant
Jusqu'à l'aube
Près de la rivière où dorment les bateaux
Il fait toujours froid, froid, froid
Près de la rivière
Où je viens le chercher
Il fait toujours froid près de la rivière
Où dorment les bateaux
Et jusqu'à ma porte arrivent les coquillages
Quand il y a tempête
Et jusqu'à ma porte
Où les amènent les vagues
Quand il y a tourmente
Déjà ma porte arrivent les coquillages
Sur le sable avec leur son
Et les échos des voix de la mer en furie
De la mer en furie, échos de voix, cousin
De mon amour, de mon amour, de mon amour
Les marins du port
Laissent leurs bateaux à la dérive
Et où que le vent aille
Mais si le vent se lève dans la baie
Ils rentrent chez eux
Jusqu'à ce que le vent tombe
Ah dans la baie, ah ah ah
Les marins du port laissent leurs barques
Laissent leurs barques
Et cette façon de regarder
Que tes yeux verts ont
Et cette manière de marcher
Qui m'amuse tant
Tu sais que je t'aime
Même si tu es ma mort, olé, olé