De Mil Colores

Donne-moi un instant, donne-moi ton aurore
Et une gorgée de l'arôme de ton amour source, emmène-moi à l'éternité, oh amour, où je peux t'embrasser
Sans que l'horloge bouge et que personne ne le sache
Et que personne ne sache que nous nous aimons, toi et moi...

S'il ne reste plus rien
Il ne reste que le souvenir
D'une certaine aube
Et il ne reste plus rien
Si personne ne me répond
Quand ma voix étouffée caresse ton nom
Je ne sais pas pourquoi ni où...

S'il ne reste plus rien... s'il ne reste plus rien
Il ne reste que le souvenir
D'une certaine aube
Et il ne reste plus rien
Si personne ne me répond
Quand ma voix étouffée
Caresse ton nom
Je ne sais pas pourquoi ni où...

Où vont les mots
Qui crient les cœurs
Ceux que personne ne connaît
Parce que personne ne les entend,
Où vont les soupirs
Aaaaay d'amour qui se brise et la couleur des fleurs
Oh ce n'est pas noir et blanc
Car elles sont de mille couleurs.

Aaay viennent du ciel
J'ai un parterre
Au milieu du village
Quand le soir tombe, j'y vais et je l'arrose, j'y vais et je l'arrose, j'y vais et je l'arrose

Voilà la lune, viens viens et viens, chemise de soie, chaussons blancs. Hé lune lune, reste à mes côtés et ne t'en vas pas encore.

Voilà la lune, viens viens et viens
Chemise de soie, chaussons blancs. Hé lune lune, reste à mes côtés et ne t'en vas pas encore.

Si tu ne me donnes pas d'affection
Oh oh si tu ne me touches pas
Si tu ne viens pas me voir
Oh oh je deviens folle
Oh amour, ce soir je veux te voir, mon cœur te désire
Les nuits deviennent éternelles si je ne t'ai pas, mon amour
Et que personne ne le sache
Et que personne ne le sache
Que nous nous aimons, toi et moi...

S'il ne reste plus rien
Il ne reste que le souvenir
D'une certaine aube
Et il ne reste plus rien
Si personne ne me répond
Quand ma voix étouffée
Caresse ton nom
Je ne sais pas pourquoi ni où

S'il ne reste plus rien
Il ne reste que le souvenir
D'une certaine aube
Et il ne reste plus rien
Si personne ne me répond
Quand ma voix étouffée
Caresse ton nom
Je ne sais pas pourquoi ni où...

Car s'il ne reste plus rien...