Secretos y metiras

Dis-moi ce qu'il adviendra de toi, qu'est-ce qu'il adviendra de moi, quand cette relation
éclatera enfin, tu me diras que non,
ien ne s'est passé, éteins la lumière, range tous ces
vêtements dans un coffre et jette la clé, tu voulais un cadeau
et moi, j'ai versé, enchanté, avec un cri entre tes seins,
ce collier de perles et à cet instant, le monde a pris fin.

Et il est apparu en pleine lumière, personne n'a bronché,
je me suis donc approché, je lui ai dit "alors, quoi ?"
il a dit "quoi ?" et moi, éteins la lumière, range
tous ces vêtements dans un coffre et jette la clé, ça fait longtemps
que ça fait longtemps que rien ne va dans ma vie,
ma vie blessée, éloignez-vous, car je vieillis...

Les gens naissent et les gens meurent chaque jour, les autres
se contentent de déranger et jouent à des secrets
et des mensonges et ensuite, on se lamente
vive l'être humain, les gens crient "hey, hey... !"

"Bien", dit alors le,
"je vois que tu as soif, je vais te l'éteindre avec des claques,
claques, claques, mais quelqu'un d'autre arrive
et je l'entends balbutier, éteins la lumière, range tous ces vêtements
dans un coffre et jette la clé, par ici fuient certains,
par là d'autres, qui parmi eux, donc,
se trompe ? Dis-le-moi, ce qui a éclaté...

Les gens naissent et les gens meurent chaque jour, les autres
se contentent de déranger et jouent à des secrets
et des mensonges et ensuite, on se lamente
vive l'être humain, les gens crient "hey, hey... !"

Les gens naissent et les gens meurent chaque jour, les autres
se contentent de déranger et jouent à des secrets
"s'il te plaît, définis-moi l'éternité", les gens naissent
et les gens meurent chaque jour, les autres se limitent
à déranger et jouent à des secrets
et des mensonges comme l'enfant cruel qui guette,
comme cet grand athlète drogué dans la course,
neuf secondes restantes, la guerre commence... "hey.... !"