La Guadalupana
Miriam Solis
La Guadalupana
Depuis le ciel, un beau matin
Depuis le ciel, un beau matin
La guadalupana, la guadalupana
La guadalupana est descendue au Tepeyac
Suppliant, il joignait ses mains
Suppliant, il joignait ses mains
Et c'étaient des Mexicains, et c'étaient des Mexicains
Et c'étaient des Mexicains, leur allure et leur visage
Près de la colline passait Juan Diego
Près de la colline passait Juan Diego
Et il s'approcha alors, et il s'approcha alors
Et il s'approcha alors en entendant chanter
Juan Dieguito, la Vierge lui dit
Juan Dieguito, la Vierge lui dit
Cette colline je choisis, cette colline je choisis
Cette colline je choisis pour faire mon autel
Depuis lors, pour le Mexicain
Depuis lors, pour le Mexicain
Être guadalupano, être guadalupano
Être guadalupano est quelque chose d'essentiel
Dans ses peines, il s'agenouille
Dans ses peines, il s'agenouille
Et il lève les yeux, et il lève les yeux
Et il lève les yeux vers le Tepeyac
Dans la tilma entre des roses peintes
Dans la tilma entre des roses peintes
Son image bien-aimée, son image bien-aimée
Son image a daigné laisser
Depuis le ciel, un beau matin
Depuis le ciel, un beau matin
La guadalupana, la guadalupana
La guadalupana est descendue au Tepeyac
La guadalupana, la guadalupana