Lucía (part. Soledad)

(Te-te-te-te-te-te-te-te-te-te—)
(Tu viens, provocante, mets-en une—)
(Uh-uh-uh-uh)
(Ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah)
(Ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah)
(Quand il se perd dans le ciel, c'est là que c'est)
(Le ciel, c'est là que c'est)

À travers les ténèbres et au crépuscule
Je t'ai vue courir, je suivais tes pas
Tu es la légende qu'on doit entendre
Tu es la lumière de la forêt qui m'a ébloui

Je te mène par les chemins, comme un épineau accroché
À ma marche
Je te mène par les chemins, comme un épineau accroché

Ma Lucía des nuits, diable blanc de mes jours
Démon qui te guide par le pacte du sang
De mes bras, Madame Karma, aspire ton âme et ton énergie
Si on a mis ma foi et mon espoir sur un autel, c'était Lucía
Si on a mis ma foi et mon espoir sur un autel, c'était Lucía

Mon corps me fait mal et je ne vois pas bien
Des lumières annonçant que tout va s'assombrir
Tu me parles doucement, insinuant l'amour
Avec un regard de peine, Lucía est devenue chanson

Je te mène par les chemins comme un épineau accroché
À ma marche
Je te mène par les chemins comme un épineau accroché

Ma Lucía des nuits, diable blanc de mes jours
Démon qui te guide par le pacte du sang
De mes bras, Madame Karma, aspire ton âme et ton énergie
Si on a mis ma foi et mon espoir sur un autel, c'était Lucía
Si on a mis ma foi et mon espoir sur un autel, c'était Lucía

(Quand il se perd dans le ciel)

(Mets-en un petit verre)