FLA

Je n'ai même pas donné la moitié et le plan est déjà en marche
Le huss' a vraiment valu le coup
Et même si j'ai pleuré, j'ai vu la lumière sur le quai
Au nom de ceux qui ne sont pas là
Je suis devenu fou d'être si peu avec qui compter
Pourquoi se sont-ils éloignés de nous ? Pour vouloir que je parte ?

J'aime le fla d'être fly, anesthésié sans ressentir
Parce qu'en vrai, je pense trop à tout
Et si demain je ne suis plus là, allez, ne pleurez pas pour moi
Je sais bien que j'ai aimé celui qui m'a aimé et je n'ai jamais haï

J'aime le fla d'être fly, anesthésié sans ressentir
Parce qu'en vrai, je pense trop à tout
Et si demain je ne suis plus là, allez, ne pleurez pas pour moi
Je sais bien que j'ai aimé celui qui m'a aimé et je n'ai jamais haï ceux qui le méritent

L'argent suffit, je l'investis, ça ne s'use pas
Pas de compétition, il manque de l'essence, le beat me dit d'arrêter
Des trucs, des gangstas, je rime comme un G de rastas
Il n'y a plus de rêves, il y a des objectifs, chanter ne suffit plus

Je me relève si je tombe
Je brille quand je chante
C'est un hit si le Taiu est là
Il met le beat, fly dans l'espace
Avec les mêmes depuis je ne sais combien de temps
Mon futur est un large abîme
Et il y a eu des fois où j'étais jusqu'au cou
Mais ces moments, je les garde pour moi

Je n'ai même pas donné la moitié et le plan est déjà en marche
Le huss' a vraiment valu le coup
Et même si j'ai pleuré, j'ai vu la lumière sur le quai
Au nom de ceux qui ne sont pas là
Je suis devenu fou d'être si peu avec qui compter
Pourquoi se sont-ils éloignés de nous ? Pour vouloir que je parte ?

J'aime le fla d'être fly, anesthésié sans ressentir
Parce qu'en vrai, je pense trop à tout
Et si demain je ne suis plus là, allez, ne pleurez pas pour moi
Je sais bien que j'ai aimé celui qui m'a aimé et je n'ai jamais haï

J'aime le fla d'être fly, anesthésié sans ressentir
Parce qu'en vrai, je pense trop à tout
Et si demain je ne suis plus là, allez, ne pleurez pas pour moi
Je sais bien que j'ai aimé celui qui m'a aimé et je n'ai jamais haï ceux qui le méritent