Dios Y El Diablo
Mexicano 777
Dieu et le Diable
Papa me disait, Pucho, ne fais pas de conneries
ne fais pas de conneries, ne fais pas de conneries
Papa me disait, Pucho, ne fais pas de conneries
ne fais pas de conneries, ne fais pas de conneries
Fille, fille, tu as l'air d'une perle
Viens, la Mexicaine Aaaaaaaaa
Fille, fille, tu as l'air d'une perle
Viens, la Mexicaine Ooooooooo
[Verse 1]
Teploc-mult- sestepa-antupa- fruta supe la puta
Teata la teta jabiola estila cuera ti muche
Grimaldi porto vallarti
Quand je le fais en une seconde avec ma tête
Sobo tema- quema-la-yeta
Qu'est-ce que c'est que ça qui dicte le cerveau
Et le cœur pendant que je manie le stylo
À travers les lignes de mon carnet
Tandis que mes sentiments pénètrent et ne respectent pas
Le vocabulaire qu'ils représentent dans le dictionnaire
De l'esprit d'un multimillionnaire
Qui injustement attrape et vend le canari
Parce qu'il ne chante plus comme avant,
Quelles choses si alarmantes
Quand tu prêtes vraiment attention à mes lyrics
Et que soudain tu ressentes des fluides et que tu flippes
C'est comme deux amants voulant être ensemble
Et un jaloux se mêle de tes affaires
Te vendre pour te faire tomber
Te vendre comme un des sacs du coin
Pour garder ce qui t'appartient ;
[chorus]
Et c'est qu'ils traînent avec des flingues
Qui n'acceptent pas de voir des balles
Sauf si c'est des points de tir, sauf si c'est des points de tir
C'est pourquoi je traîne avec mon aka
Pour frapper l'ennemi
Aujourd'hui
C'est pourquoi tu ne pardonnes jamais la vie à un ennemi, ennemi
Parce qu'à court ou à long terme, il peut te viser,
te viser
[Verse 2]
Cette guerrière de Dieu et du Diable
Doit avoir une fin glorieuse
Imagine-moi et Saint Michel
Noyant le Diable dans un puits
À quel point ça ne te semble pas drôle
Quand il saura que je suis l'un des appelés
Du Tout-Puissant
Un envoyé totalement préparé
Pour accomplir le travail qu'il faut
Tellement préparé pour le combat
Pour quand les choses deviennent moches
Et que l'ennemi se retrouve à la Croix-Rouge
Puisque sa corde est lâche
Et que l'aube arrive bientôt
Écoutez-moi bien, mon peuple !
Celui que Dieu mentionnait toujours
Et que personne n'écoutait, la bénie parole
Celle qui fait entrer les chèvres
Celle qui te laisse sans mots
Et note que tu ne t'arrêtes jamais jusqu'à ce que tu glisses
Et que les choses deviennent mauvaises
Et de plus en plus mauvaises, et de plus en plus mauvaises
Minonoiminonoi
Minonoinonoi
[chorus]
Et c'est qu'ils traînent avec des flingues
Qui n'acceptent pas de voir des balles
Sauf si c'est des points de tir, sauf si c'est des points de tir
C'est pourquoi je traîne avec mon aka
Pour frapper l'ennemi
Aujourd'hui
C'est pourquoi tu ne pardonnes jamais la vie à un ennemi, ennemi
Parce qu'à court ou à long terme, il peut te viser,
te viser
[Verse 3]
Ici, je me note
En décrivant mes affaires
Et en soutenant les points dans leurs malheurs
De mes spécialités
Je me transforme en milliers de puissances configurant les cartes
Que je lance sur cette table
Ça me rappelle la santeria
De celui qui disait
Que la langue de vache était la solution,
Du sang par ration
Qu'on offre aux morts
Mais comme je ne les habitue pas mal
Je les ai toujours laissés enveloppés
Dans un travail gelé, au diable, dans une coupe, dans un frigo
Comme le faisait ma sainte mère
À tous ceux qui se mêlaient de ma famille
Et si c'est une question, ma mère,
Je le ressens dans cette chaise
Et ce que je donne, c'est de la souffrance
Il n'existe pas le souffle que je cherche chaque jour
Mais des cauchemars de tous ceux que j'ai laissés
Je laissés pour avoir tenté ma vie
Si dans mon enfance, quand il n'y avait pas à manger
La seule chose qui me divertissait, c'était les balles
D'un revolver de mon père
[chorus]
Et c'est qu'ils traînent avec des flingues
Qui n'acceptent pas de voir des balles
Sauf si c'est des points de tir, sauf si c'est des points de tir
C'est pourquoi je traîne avec mon aka
Pour frapper l'ennemi
Aujourd'hui
C'est pourquoi tu ne pardonnes jamais la vie à un ennemi, ennemi
Parce qu'à court ou à long terme, il peut te viser,
te viser
[Verse 4]
À combien dois-je prouver
Puisque j'en ai marre de parler
Et ça entre par une oreille
Et ça sort par l'autre
Et ils doivent s'asseoir et regarder leurs visages
En agonie
Et le miroir de la vie
Réfléchira la sagesse
La différence entre la tienne et la mienne
L'anatomie de ma philosophie
Se trouve dans un état chaud
Et pas froid comme le tien
Dont l'enseignement avance et court et ne fatigue pas ;
Celui qui est intéressé à construire son château
En acier et non en sable
Quel dommage que beaucoup n'aient pas la mentalité
Ni l'autorité sur leur corps et leur esprit
Peut-être que c'est pour ça qu'ils m'aiment, les appelés fous
Parce que personne ne les comprend quand ils éteignent et allument
La lumière qui fait des étincelles
Combien ne sont pas sur une liste
Et la police ne trouve pas de piste
Pour faire ses arrestations matinales
[chorus]
Et c'est qu'ils traînent avec des flingues
Qui n'acceptent pas de voir des balles
Sauf si c'est des points de tir, sauf si c'est des points de tir
C'est pourquoi je traîne avec mon aka
Pour frapper l'ennemi
Aujourd'hui
C'est pourquoi tu ne pardonnes jamais la vie à un ennemi, ennemi
Parce qu'à court ou à long terme, il peut te viser,
te viser
(repeat 2X)