Aprendiz de Caballero
Melendi
Apprenti de Chevalier
Comme un petit soldat effondré par la lune à ta fenêtre
Comme cet accent qui cherchait son mot, c'est comme ça que je suis
C'est vrai, elle ne m'a jamais donné d'espoir
Mais elle ne me les a pas non plus enlevés
Peut-être que c'était la pute du doute
Qui m'a conduit à l'erreur
Comme un paradis désolé
Sans côtes ni pommes
Comme l'apprenti de chevalier le plus idiot de Camelot
Comme est restée Scarlett O'Hara
Regardant ce vent qui a emporté
Tout ce qu'elle chérissait le plus
C'est pour ça qu'elle a juré :
Aujourd'hui je ne sors pas de chez moi
Ce qui est dehors ne m'intéresse plus
Elle ne m'embrasserait pas même si mille prophètes le prédisaient
Elle me disait toujours avec sa mélodie
Qu'un jour j'allais pleurer
Et maintenant que je suis seul entre quatre murs
Entouré de posters pleins de belles femmes
Je me rends compte peu à peu que tu es la seule qui compte
Et que mes lèvres ne sont plus du cimetière
Où les tiennes viennent mourir
Que tu m'as coupé le souffle et sans remède
Ça va me coûter de pouvoir survivre
Que tu m'as jeté à la mer les pieds liés
Et tenant les souvenirs avec les mains
Comme une cigarette bien marquée
Par le rouge de tes lèvres
Comme seulement Piter
Depuis que tu as pris le Pain
Comme un idiot faisant des bêtises
Ou c'est ce que dit ma mère
Assis à l'arrêt de chez toi
Tout comme Forrest Gump
Aujourd'hui je ne sors pas de chez moi
Ce qui est dehors ne m'intéresse plus
Elle ne m'embrasserait pas même si mille prophètes le prédisaient
Elle me disait toujours avec sa mélodie
Qu'un jour j'allais pleurer
Et maintenant que je suis seul entre quatre murs
Entouré de posters pleins de belles femmes
Je me rends compte peu à peu que tu es la seule qui compte
Et que mes lèvres ne sont plus du cimetière
Où les tiennes viennent mourir
Que tu m'as coupé le souffle et sans remède
Ça va me coûter de pouvoir survivre
Que tu m'as jeté à la mer les pieds liés
Et tenant les souvenirs avec les mains
Et dans le passé je suis resté, quand tu devenais folle
Chaque fois que je te touchais là où l'amour glisse
Sous les vêtements
Chaque fois que tu me tirais avec ton amour à bout portant
Quand tu me demandais la guerre... encore et encore
Comme un petit soldat effondré par la lune à ta fenêtre