El Informe del Forense

Elle s'est battue, de toutes ses forces
Mais ce salaud a lutté encore plus, pour lui écarter les jambes.

Elle a cru, que rien n'était vrai
Que tout n'était qu'un mensonge, que c'était un enfer.

Et cet homme, le diable, vêtu de souffrance
Imprégné d'audace, complice du silence.

On l'a enterrée vivante, dans ce putain de trou
Et elle a lavé ses blessures dans ses propres larmes.

Le rapport du médecin légiste dit qu'il n'y a pas eu de viol
Qu'il n'y a pas de preuve que cet homme lui ait baissé le pantalon
Et le secret de l'instruction a déjà clos l'enquête
Parce qu'ils ont trouvé des piqûres dans son bras
Et l'héroïne l'a tuée...

Il a avoué qu'il l'avait fait
Et il fondait sa triste défense
Sur le fait qu'il était bien défoncé.

Regardez, Monsieur le juge, s'il n'y a pas eu de cruauté
Je l'ai tuée sur le moment, quand je déchirais

Sa peau avec mes doigts, son âme avec mes peurs
Si sous la même lune, on entendait ses lamentations.

Je n'ai rien pu faire, si elle le demandait
Et si ça peut m'aider, je dirai que je suis désolé.

Le rapport du médecin légiste dit qu'il n'y a pas eu de viol
Qu'il n'y a pas de preuve que cet homme lui ait baissé le pantalon
Et le secret de l'instruction a déjà clos l'enquête
Parce qu'ils ont trouvé des piqûres dans son bras
Et l'héroïne l'a tuée.

Et l'héroïne l'a tuée, l'héroïne l'a tuée
Et l'héroïne l'a tuée, l'héroïne l'a tuée.
Il a avoué qu'il l'avait fait
Et il fondait sa triste défense
Sur le fait qu'il était bien défoncé.