Shimi

RHYTHME DU CÔTÉ SOMBRE, esclave de la débauche
DANSER UN REQUIEM SOUTERRAIN
Les démons se déchaînent, abandonnent, plongent dans la souffrance
Jizou, rancœur, tourmente... Nous sommes maudits

Noir, je me lève, ma voix pourrie murmure faiblement
Mes os se brisent, où vais-je maintenant ?
Le ventre plein de rancœur, je me fais avoir par les mensonges de mes vies passées
L'angoisse se débat, mes émotions sont
Qui peut les déchiffrer ?

Le crépuscule, la pluie d'été, l'ombre déformée
Les yeux des dieux sont négligés, l'âme tombe dans la déchéance

Les étincelles se dispersent, au bout de mes griffes, je porte le doute
Je lèche la masse qui tombe, je l'engloutis
Reste, cette déchéance

RHYTHME DU CÔTÉ SOMBRE, esclave de la débauche
DANSER UN REQUIEM SOUTERRAIN
Les démons se déchaînent, abandonnent, plongent dans la souffrance
Jizou, rancœur, tourmente... Nous sommes maudits
Noir, je me lève, ma voix pourrie murmure faiblement
Mes os se brisent, où vais-je maintenant ?
Le ventre plein de rancœur, je me fais avoir par les mensonges de mes vies passées
L'angoisse se débat, mes émotions sont
Qui peut les déchiffrer ?

Le crépuscule, la pluie d'été, l'ombre déformée
Les yeux des dieux sont négligés, l'âme tombe dans la déchéance

Les étincelles se dispersent, au bout de mes griffes, je porte le doute
Je lèche la masse qui tombe, je l'engloutis
Reste, cette déchéance

Je nettoie mes larmes de sang de mon rouge
Pour ceux qui pleurent, je les salue
Au moment du départ, je vais à leur rencontre
Vers la lumière qui brille

[Je suis encore en vie] La folie s'empare de moi
La peur et la douleur me soutiennent, je m'accroche à la vie
Ce soir, je laisse une trace ici

Même l'auto-destruction se libère, des milliers de pensées
Même l'auto-destruction se libère, des milliers de pensées

Le crépuscule, la pluie d'été, l'ombre déformée
Les yeux des dieux sont négligés, l'âme tombe dans la déchéance

Les étincelles se dispersent, au bout de mes griffes, je porte le doute
Je lèche la masse qui tombe, je l'engloutis
Tout le karma des recoins s'illumine
Jusqu'à ce que le sens déborde, je l'ai transmis
Reste, cette déchéance