Aplauso (part. Oscar Ortiz)

Ça fait mal
L'amour fait toujours mal
Ça commence bien, puis ça se fane
Et ça ne t'aime plus

Tu rêves
Et puis tu te réveilles
Ce qui était l'été devient soudain l'hiver
Et tu restes seul

Je demande un applaudissement pour ceux
Qui sont déçus et bien
Bien amoureux et qui
Ne sont pas réciproques et sont tout blessés
Je demande un applaudissement pour celui qui va
Avec une tête de nigaud et qui a
Le cœur brisé, pareil
Pareil que le mien, je te comprends, mon pote

(Ta-ra)
(Mmm)
(Ta-ta-ra-ra-ta-ra)
(Ah-ah-ah-ah)
(Ta-ta-ra-ra-ah-ah, ah)
(Ta-ta-ra-ta-ta)
(Uh-uh-uh, uh)

Ça fait mal
L'amour fait toujours mal
Ça commence bien, puis ça se fane
Et ça ne t'aime plus, oh-oh

Tu rêves
Et puis tu te réveilles (Et puis tu te réveilles)
Ce qui était l'été devient soudain l'hiver
Et tu restes seul

Uh, uh-uh-uh-uh-uh

Je demande un applaudissement pour ceux
Qui sont déçus et bien
Bien amoureux et qui
Ne sont pas réciproques et sont tout blessés
Je demande un applaudissement pour celui qui va
Avec une tête de nigaud et qui a
Le cœur brisé, pareil
Pareil que le mien, uh-oh-oh

Portons un toast pour eux
Pour ceux qui sont partis
Un shot pour les ex
Qui ne sont plus là
Effaçons les photos
Mieux vaut être seul
Que de les supplier, uh-oh-oh
Portons un toast pour eux
Pour ceux qui sont partis
Un shot pour les ex
Qui ne sont plus là
Effaçons les photos
Mieux vaut être seul
Que de les supplier, les supplier

Et je porte un toast pour elles
Matisse
Uh